Vous envisagez de vous lancer dans l'ABM ?

Evitez ces 3 erreurs critiques pour votre première campagne !

L'article

Vous débutez dans l’ABM : évitez ces 3 erreurs critiques pour briller !

Selon les données de Similarweb, le terme « ABM » comptabilise plus de 100 000 recherches mensuelles sur Google, soit une augmentation de 25 % par rapport à 2021. Cette progression traduit un intérêt majeur pour cette approche qui reste, selon une étude DemandSpring, la tactique marketing « qui génère le plus de revenus ».

Dans ce guide, la rédaction revient sur 3 erreurs critiques à éviter pour réussir votre première campagne ABM en 2023.

1- « Trop charger » sur la première campagne ABM

Les équipes vente et marketing qui souhaitent s’initier à l’Account-Based Marketing tombent souvent dans le piège de l’excès. Elles produisent trop de contenus, mettent en place des tactiques complexes et utilisent beaucoup trop de canaux. Cette approche présente deux inconvénients majeurs :

Commencez simplement. Pour une première campagne, vous aurez sans doute davantage de succès en déployant une ou deux tactique(s), avec quelques contenus de qualité et trois canaux classiques. Vous n’aurez pas forcément besoin d’une plateforme ABM pour vos premières campagnes. Un CRM suffira largement pour mesurer l’engagement et la progression des comptes dans l’entonnoir, et des plateformes comme LinkedIn ou AdRoll vous permettront de gérer vos campagnes publicitaires. Voici un exemple de campagne ABM « pilote » :

L’indicateur de succès pour cette campagne serait par exemple le taux d’engagement de ces comptes et/ou le nombre de comptes qui progressent dans l’entonnoir au terme de la campagne. Une fois que vous aurez démontré le potentiel de l’ABM pour votre performance commerciale, vous pourrez muscler votre stack technologique et diversifier les contenus.

2- Ne faire que du « One-to-One ABM »

Il y a trois façons de faire de l’Account-Based Marketing, chacune présentant des avantages et des inconvénients :

La meilleure stratégie consiste généralement en un mix entre :

Les équipes qui se limitent au One-to-One manquent sans doute une opportunité de mutualiser les ressources et de lisser les coûts, impactant directement le ROI de l’ABM (et donc la possibilité de débloquer des budgets pour progresser en la matière).

Le One-to-Many nécessite généralement un stack technologique important, avec des outils de tracking de type Reverse IP, du marketing automation avancé et un accompagnement juridique pour garantir la légalité des différentes tactiques en matière de confidentialité des données. A noter : selon l’ABM Benchmark Survey de DemandGen, 43 % des marketeurs optent pour une approche hybride combinant le One-to-Few au One-to-One.

3- Ne pas impliquer le top management dans l’ABM

Les marketeurs qui souhaitent lancer ou développer une stratégie ABM doivent impérativement obtenir l’adhésion « enthousiaste » de leur direction pour deux raisons :

Pour ce faire, ils doivent pitcher le projet, avec une présentation pertinente qui contient notamment :

A noter : selon les données de Vende Digital, l’implication des cadres supérieurs dans l’exécution des campagnes ABM, notamment au niveau des rendez-vous, a un impact mesurable sur la durée du cycle de vente ainsi que la taille des transactions.

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